Analyse comparative des budgets et du classement sportif* 0 2 4 6 8 10 12 14 16 0 4 2 6 10 8 12 16 14 Classement budgets Classement sportif 2019 2020 2021 2022 2020 2021 2022 2023 2023 2024 42% 11% 36% 2% 9% 35% 40% 14% 10% 57% 29% 6% 8% 48% 33% 8% 11% 43% 10% 34% 2% 11% Subventions d’exploitation Partenariats Autres* Recettes matchs Droits TV et Marketing 100 % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Répartition des principaux produits d’exploitation de l’exercice * Les autres produits intègrent notamment les transferts de charges, les autres produits de gestion courante et les produits des activités annexes. Les recettes publiques Évolution des recettes publiques globales depuis 5 saisons 2019 2020 2020 2021 2021 2022 2022 2023 2023 2024 Ville Métropole ou agglomération Région Département 0 K 2 000 K 4 000 K 6 000 K 8 000 K 10 000 K 12 000 K Le volume d’intervention publique a augmenté de 10% par rapport à la saison 2022/2023 (+ 1 164 K€ en valeur brute). On constate une très forte augmentation de la participation des villes entre les 2 saisons (+ 1 745 K€ ; +29%) et dans une moindre mesure, des régions (+128 K€ ; +13%). On souligne en revanche une baisse de la participation des agglomérations/métropoles ( -618 K€ ; -26%) et des départements (-91 K€ ; -5%). Ce graphique présente la corrélation entre le classement sportif et le classement budgétaire des clubs de ProLigue. La diagonale bleue indique la parfaite adéquation entre ces deux classements. Les équipes classées au-dessus de cette ligne traduisent un classement plus important que ce que leur budget ne pouvait leur faire espérer. A l’inverse, les équipes classées en-dessous de cette ligne sous-performent par rapport à leur classement budgétaire. On observe que 6 équipes ont ainsi surperformé sur la saison 2023/2024, notamment Frontignan (+5), Pontault-Combault (+4) et Sarrebourg (+3). A l’inverse, 6 équipes ont sous-performé par rapport à leur niveau de budget, notamment Caen (-6), Nancy (-3), Massy et Sélestat (-2). 3 équipes se situent sur le même rang, à la fois sur le classement sportif et le classement budgétaire (contre 2 la saison précédente) : Tremblay, Billère et Angers. On remarque par ailleurs que la très grande majorité des équipes se trouvent à proximité de la ligne bleue. 5 clubs ne voient leur classement sportif n’évoluer que d’un seul rang. Le coefficient de corrélation confirme la très forte interdépendance entre les deux séries, puisqu’il s’élève à 0,81 (il ne s’élevait qu’à 0,47 la saison passée). Pour compléter l’étude statistique entre la puissance financière et le classement sportif des clubs, une analyse de corrélation entre les charges de personnel et le classement sportif est réalisée en page 63. * Une corrélation parfaite se traduirait par un résultat de 1. Entre 1 et 0,5 il indique une bonne corrélation Entre 0,5 et 0,3 il indique une corrélation moyenne Et en dessous de 0,3 la corrélation est plutôt faible 56 57 6.5. FOCUS SUR LES PRODUITS D’EXPLOITATION
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